• "Les architectes ouvrent leurs portes": L'occasion de faire connaître son agence... ou de découvrir celles des autres!

    "Les architectes ouvrent leurs portes"Cette action de communication, organisée par les conseils régionaux de l'Ordre des architectes en partenariat avec le magazine "A Vivre", aura lieu les vendredi 6 et samedi 7 juin prochains.
    Les architectes/agences souhaitant y participer doivent s'inscrire avant le 15 avril.

    Tarifs:  50 euros TTC par agence / tarif réduit -50% pour les jeunes inscrits à l'Ordre en 2013 ou 2014.

    Inscription et renseignements:
    http://www.portesouvertes.architectes.org

    Renseignements IDF: Basile Valentin, Responsable Communication & Partenariats  - 01 53 26 10 64 - communication@architectes-idf.org 


    "Les journées d'Architectures à vivre"

    Cette manifestation s'adresse aux curieux -particuliers ou professionnels- désireux de visiter, avec la complicité des occupants, des lieux (maisons ou appartements) réalisés par des architectes.

    Une grande part des lieux sélectionnés fera l'objet d'une publication hors-série du magazine fin mai 2014.

    Inscription et renseignements:
    http://www.journeesavivre.fr, avant le 11 avril.

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  •  Les notes de frais #1

    Article intéressant de Kalligo, dont vous pourrez retrouver la version originale ici:

    " Bien gérer les notes de frais : mode d'emploi
    21/02/2014

    Chaque mois, vous observez avec une pointe d'angoisse la pile des notes de frais grandir sur votre bureau. Simplifiez-vous la gestion des frais de déplacement et mettez les ordinateurs et les collaborateurs à contribution. Soyez généreux, partagez le travail !

    > Une activité chronophage et méticuleuse
    Chaque note de frais est répertoriée, traitée, scannée, archivée, voire transmise à la comptabilité. Cette procédure manuelle et répétitive peut être alourdie par les demandes d'indemnités en cas de retard d'un avion ou d'un train... Des heures de saisies et de numérisation dont vous vous passeriez bien ! D'autant que la moindre erreur de virgule ou de centimes vous promet une séance palpitante de recomptage...

    > Créez des modèles et déléguez la saisie
    Avec une bonne dose de pédagogie, proposez à votre manager d'instaurer quelques nouveaux outils au sein de l'entreprise. Des modèles de fiches de frais (papier) permettent à chacun de lister ses dépenses et de les formater à vos besoins.
    Gagnez encore du temps en modélisant cette fiche dans un fichier Excel (possibilités de calcul, de filtre...) que vous adressez par mail à vos collègues.

    > Mettez à profit les reçus numériques
    De plus en plus d'entreprises de transport, de chaînes hôtelières et de restaurants proposent des billets ou des factures numériques. Sensibilisez vos collaborateurs à ces reçus digitaux, bien plus faciles à transférer et à archiver.
    Pourquoi ne pas revoir aussi le mode de paiement ? Vous pouvez opter pour l'avance sur frais de déplacement ou recourir à des cartes affaires pour les commerciaux les plus nomades.

    > La gestion des notes de frais à l'ère 2.0
    Au-delà d'une centaine de formulaires traités chaque mois, une entreprise peut avoir intérêt à investir dans un logiciel de gestion de notes de frais (de type Cleemy, Concur, Notefrais, Notilus...). Vos collaborateurs accèdent alors à un formulaire en ligne qu'ils remplissent et auquel ils joignent leurs justificatifs numérisés. Cette saisie peut-être effectuée à tout moment, depuis n'importe quel poste grâce à un accès sécurisé à l'Intranet de votre société ou à un Cloud dans le cas d'un service hébergé.
    L'informatisation de ce processus se révèle pertinente sur bien des plans. Les commerciaux peuvent suivre à tout moment le traitement de leurs notes de frais et sont remboursés plus rapidement. De votre côté, vous n'avez qu'à compulser les informations reçues et à les transmettre à l'expert comptable.

    Mieux : certains logiciels permettent de consolider l'ensemble des données en vue d'analyser les dépenses, poste par poste. De quoi débusquer de nouvelles économies à réaliser. Et là, c'est votre manager qui est content ! "


    Si vous êtes intéressé(e)s par les logiciels cités dans l'article:

    Si vous en connaissez d'autres et que vous souhaitez les partager, laissez un commentaire ;)

    A suivre:
    Notes de frais #2, ce que vous avez le droit de faire... ou pas!

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  • Rappel :)N'attendez pas la dernière minute... et n'oubliez pas de faire votre déclaration d'activités professionnelles 2013 auprès de la MAF, même si vous avez jusqu'au 31 mars.

    Pensez collecter les attestations d'assurance de vos cotraitants, elles pourraient vous être réclamées!

    Pour rappel, #A savoir 16

    "A réception de la déclaration des activités professionnelles de l’année écoulée, accompagnée du règlement de la cotisation provisoire (avant le 31 mars), la MAF envoie l’attestation d’assurance professionnelle indispensable pour maintenir l’inscription au tableau de l’Ordre.

    Passé le 31 mars, et sous condition du paiement de la cotisation provisoire, l’attestation n’est envoyée qu’à la demande expresse de l’architecte.

    Attention, c’est le paiement des cotisations, et pas seulement l’envoi de la déclaration, qui déclenche l’attestation d’assurance qui doit être communiquée au Conseil Régional.

    L’absence de production de cette attestation entraîne la suspension, voire la radiation, du Tableau de l’Ordre."

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  • Du changement en perspective pour les stagiaires

    Le stage est un moyen efficace pour un étudiant de se confronter à la vie professionnelle. Toutefois, certaines expériences dérapent faute du respect de ce statut "d'observateur" et non "d'acteur".

    C'est pourquoi une proposition de loi visant à renforcer l'encadrement des stages a été adoptée en première lecture par l'Assemblée nationale le 24 février 2014. Elle doit ensuite être examinée par le Sénat à compter du 29 avril.

    Un petit rappel des lois actuelles:

    Seuls les stages intégrés à un cursus pédagogique scolaire ou universitaire sont autorisés. Cette restriction est applicable depuis 2009 (c. éduc. art. L. 612-8 et D. 612-48).

    Le stage n'est pas un emploi  (c. éduc. art. L. 612-8 et D. 612-54). L'inspecteur ou le contrôleur du travail qui constaterait qu'un « véritable » poste serait pourvu par un stagiaire devrait en informer le stagiaire, l'établissement d'enseignement dont il relève, ainsi que les institutions représentatives du personnel de l'organisme d'accueil, dans des conditions fixées ultérieurement par décret.

    Pour rappel, l'organisme d'accueil doit respecter un délai de carence entre deux conventions de stage sur un même poste, égal au tiers de la durée du stage précédent. 

    Un même stagiaire ne peut pas effectuer plus de 6 mois de stage par année d'enseignement dans le même organisme d'accueil, sauf exceptions à définir par décret (non paru) (c. éduc. art. L. 612-9).

    La gratification obligatoire pour les stages d'au moins 2 mois consécutifs (ou non consécutifs au cours d'une même année scolaire) est due à compter du premier jour du premier mois de la période de stage ou de formation en milieu professionnel (c. éduc. art. D. 612-54).
    Le montant de la gratification minimale est fixé par convention de branche ou accord professionnel étendu. À défaut, elle est égale à 12,50 % du plafond horaire de la sécurité sociale par heure (c. éduc. art. D. 612-54), soit par exemple pour une durée de présence de 35 heures hebdomadaires, un montant mensuel de 23 € X 12,50 % X 151,67 = 436,05 €.

    Les gratifications des stagiaires sont exonérées d'impôt sous diverses conditions : caractère obligatoire du stage, durée n'excédant pas 3 mois, etc. (BOFiP-RSA-CHAMP-20-30-10-10-§ 200-23/01/2014).

    Les changements prévus:

    L'interdiction des stages "post diplôme" sera renforcée par un prochain décret déterminant le volume pédagogique minimal de formation en établissement compris dans le cursus (afin que seules les « véritables » formations initiales puissent permettre d'effectuer des stages).

    Du changement en perspective pour les stagiairesLe stage ne devant pas constituer une possibilité de « se fournir » en main-d'oeuvre bon marché en substitution du recrutement de salariés pour des emplois réguliers (CDI), temporaires (CDD, intérim) ou saisonniers, le texte prohibe le recours aux stages qui auraient pour objet d'exécuter une tâche régulière correspondant à un poste de travail permanent ; de faire face à un accroissement temporaire de l'activité de l'organisme d'accueil ; d'occuper un emploi saisonnier ; ou de remplacer un salarié en cas d'absence ou de suspension de son contrat de travail.

    Un quota de stagiaires dont la convention de stage est en cours sur une même semaine civile dans l'organisme d'accueil sera instauré (nombre défini ultérieurement par décret).

    Les dérogations à la durée maximale de six mois seront supprimées.

    L'organisme d'accueil devrait inscrire les stagiaires au registre unique du personnel, dans lequel une section spécifique serait dévolue à cette fin.

    L'organisme d'accueil devrait désigner un tuteur, chargé de l'accueil et de l'accompagnement du stagiaire et garant du respect des dispositions pédagogiques de la convention de stage.

    Les stagiaires seraient placés sous le régime des règles applicables aux salariés de l'organisme d'accueil en matière de présence de nuit, de repos quotidien et hebdomadaire et de jours fériés.
    De plus, le temps de présence du stagiaire fixé par la convention de stage ne pourrait pas excéder la durée de travail des salariés de l'organisme d'accueil. Pour le respect de ces dispositions, l'organisme d'accueil aurait l'obligation, « selon tous moyens », de tenir un décompte des durées de présence du stagiaire.

    Les stagiaires auraient droit à des congés et autorisations d'absence d'une durée équivalant à ceux prévus en faveur des salariés en cas de grossesse, de paternité ou d'adoption (ex. : congé de maternité).
    Par ailleurs, pour les stages d'une durée supérieure à 2 mois, la convention de stage devrait prévoir la possibilité de congés et d'autorisations d'absence au bénéfice du stagiaire au cours de cette période.

    Pour les stages d'une durée supérieure à deux mois consécutifs (ou non consécutifs au cours d'une même année scolaire), le stagiaire aurait accès au restaurant d'entreprise ou aux titres-restaurant et bénéficierait de la prise en charge des frais de transport « domicile - lieu de stage » dans les mêmes conditions que les salariés de l'organisme d'accueil.

    La gratification serait exonérée d'impôt sur le revenu dans la limite du montant annuel du SMIC, comme pour les apprentis. Cette mesure bénéficierait directement aux stagiaires ou à leurs parents lorsqu'ils sont rattachés à leur foyer fiscal.

    Validation du stage et reprise après interruption pour un motif lié à la maladie, à un accident, à la grossesse, à la paternité, à l'adoption ou, en accord avec l'établissement, en cas de non-respect des tâches prévues par la convention ou en cas de rupture de la convention à l'initiative de l'organisme d'accueil, le rectorat ou l'établissement d'enseignement supérieur pourrait choisir de valider la période de formation en milieu professionnel ou le stage, même s'il n'a pas atteint la durée prévue dans le cursus. 

    En cas d'accident du travail dû à une faute inexcusable de l'organisme d'accueil, possibilité d'une action récursoire en faveur de l'établissement d'enseignement.

    Le texte prévoit enfin que lorsque le stagiaire saisit le conseil de prud'hommes d'une demande de requalification du stage en contrat de travail, l'affaire serait directement portée devant le bureau de jugement, qui statue au fond dans un délai d'un mois suivant sa saisine.


    Sources:

    Merci Florence :)

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  • Passer d'un PC à un Mac... où comment ne pas avaler sa pomme de travers ;)J'ai pris la semaine dernière mes fonctions au sein d'une nouvelle agence... gros changement! Tout le monde travaille sous Mac, système d'exploitation que je n'ai pas utilisé depuis... 2004 (parce qu'on ne va pas se mentir, bidouiller un Ipad n'a rien à voir avec bidouiller un Imac!).

    Voici le résultat de mes recherches, qui vous servira sûrement si, comme moi, vous devez faire la grande transhumance... (ou le "switching", comme diraient certains...)

    Les gros changements

    • Ne cherchez pas l'unité centrale... elle est "collée" derrière l'écran! (et le lecteur CD est sur la tranche de l'écran, à droite). Bah oui, c'est comme ça!
    • Pour brancher une clé USB, c'est derrière l'écran.
    • Pour internet, utilisez "Safari"
    • Oubliez le bouton "Démarrer", il y a "Finder" (en haut) et la barre d'applications (en bas)
    • Pas d'accusé de réception à vos mails
    • Pas possible de couper/coller

    Les raccourcis clavier

    Faites le deuil de la touche Ctrl, votre meilleure amie est désormais Cmd (pour "commande" --> Symbole pomme sur anciens claviers, ou un carré avec une bulle à chaque coin sur les nouveaux claviers).

    Vous trouverez ci-dessous quelques liens listant les raccourcis les plus fréquents:

    Les autres astuces

    Bonne découverte de Mac à ceux et celles qui comme moi débutent... Quant aux autres, n'hésitez pas à faire part de vos astuces en commentaires ou sur le forum !!!

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